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Se préparer à La Vestale (Spontini) – Paris, Théâtre des Champs-Élysées

par Stéphane Lelièvre 14 juin 2022
par Stéphane Lelièvre 14 juin 2022
"Invocation" (Frederic Leighton)
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460

Tragédie lyrique en trois actes de Gaspare Luigi Spontini, livret de Victor-Joseph-Étienne de Jouy, créée le 15 décembre 1807 à l’Opéra de Paris (salle Montansier).

Théâtre des Champs-Élysées (Paris) - 22 juin 2022

L'ŒUVRE

Le compositeur

Gaspare Spontini (1774-1851)

Spontini naît à Maiolati (province d’Ancône) en 1774. Il se forme au conservatoire de Naples avant de s’installer à Paris en 1803. Il y remporte de très grands succès avec La Vestale (1807) et Fernand Cortez, obtenant ainsi le soutien de l’impératrice Joséphine. Nommé directeur des Italiens en 1810, c’est notamment grâce à lui que furent données à Paris les versions originales italiennes de Don Giovanni, des Noces de Figaro et de Cosi fan tutte. 

Il s’installe ensuite à Berlin (1820), où il fait représenter Agnes von Hohenstauffen en 1829. Il y devient compositeur attitré de Frédéric-Guillaume III.

Il se retire dans sa ville natale en 1848, où il meurt en 1851.

Le librettiste

Étienne de Jouy (1764-1846)

Après une carrière militaire, Étienne de Jouy se fait hommes de lettres. Il est chansonnier, journaliste, critique, mais est surtout connu en tant que dramaturge (sa tragédie Sylla, créée en 1821 et dans laquelle jouait Talma, connut un immense succès), et plus spécifiquement en tant que librettiste.

Ses livrets les plus célèbres sont ceux de La Vestale (Spontini, 1807), Moïse et Pharaon (Rossini, 1827, écrit en collaboration avec Luigi Balocchi) et Guillaume Tell (Rossini, 1829, écrit en collaboration avec Hippolyte Bis). 
Étienne Jouy est également l’auteur d’un ouvrage intitulé Essai sur l’opéra (1820).

La création

L'Opéra de Paris en 1807 : la "salle Montansier", construite par Victor Louis rue Richelieu (alors rue de la Loi) pour Mademoiselle de Montansier, qui lui donna son nom.

Monté à l’Opéra de Paris (alors installé salle Montansier) en 1807 notamment grâce au soutien de l’impératrice Joséphine, l’opéra de Spontini remporta un véritable triomphe lors de sa création. Caroline Branchu, cantatrice adulée de Berlioz, interprétait le rôle-titre, le rôle de Licinius étant confié au ténor Étienne Lainé. Dix ans après la première, on avait déjà dépassé la centième représentation de l’œuvre, et les reprises se poursuivirent au cours du XIXe siècle, en France (Falcon et Nourrit l’interprétèrent en 1834) comme à l’étranger : Bruxelles et Vienne en 1810 ; Berlin en 1811 ; Naples, également en 1811, où Isabella Colbran et Andrea Nozzari imposèrent la version italienne de l’œuvre, qui devait progressivement supplanter la version française originale : c’est en italien que La Vestale fut en effet reprise en Italie jusqu’au XXe siècle, où une production prestigieuse en 1954 à la Scala de Milan attira de nouveau l’attention des mélomanes sur l’oeuvre (Callas y interprétait le rôle-titre, dans une mise en scène de Luchino Visconti). 

Le retour à la version originale française fut assez tardif. Riccardo Muti la proposa à la Scala en 1993, le Théâtre des Champs-Élysées en 2013, la Monnaie de Bruxelles en 2015.

Caroline Branchu (1780-1850)
Caroline Branchu dans le rôle de Julie
Étienne Lainé dans le rôle de Licinius

Le livret

Pour son livret, Étienne de Jouy s’inspire très largement d’une tragédie de Joseph-Gaspard Dubois-Fontanelle (1737-1812) : Éricie ou la Vestale, créée à Lyon en 1768, et qui connut le succès en partie grâce aux déboires que rencontra l’auteur avec la censure.

Les personnages de la pièce sont très proches de ceux du livret : une Vestale (Éricie), une Grande Prêtresse (Arélie), un Grand Pontife, un jeune soldat (Osmide). Le nœud dramatique de la tragédie est le même que celui de l’opéra de Spontini : la vestale Éricie est déchirée entre son amour pour Osmide et ses fonctions qui lui interdisent tout amour humain.

Joseph-Gaspard Dubois-Fontanelle

Arélie
[…]
Conservez ce dépôt. Songez qu’à ces autels,
La Déesse a reçu vos serments solennels.
Un murmure indiscret peut blesser l’immortelle ;
Tremblez, soumettez-vous, et soyez digne d’elle.

Éricie (seule, regardant Arélie qui s’en va)
C’est ainsi qu’on me plaint !… Ces serments odieux
Devaient-ils jamais être entendus par les dieux ?
Je les désavouais ; mon inflexible père
Ordonna de mes jours l’hommage involontaire.
Déesse, tu le sais ! Indigne, hélas ! de toi,
Pus-je t’offrir mon cœur, qui n’était plus à moi ?…
Osmide l’occupait… il le remplit encore ;
Ici même, à tes pieds, je sens que je l’adore !
Connaît-il la douleur qui m’accable aujourd’hui ?
S’informe-t-il des pleurs que je verse pour lui ?
Donne-t-il des regrets à la triste Éricie ?
M’aime-t-il ?… Ah ! ce doute empoisonne ma vie,
Je t’offense, Vesta ! mais de mon souvenir
Cinq ans entiers n’ont pu l’éloigner, le bannir ;
Étouffe, anéantis cette flamme invincible,
Arrache-moi ce cœur si tendre, si sensible,
Et qui ne fait qu’aimer.

Joseph-Gaspard Dubois-Fontanelle, Éricie ou la Vestale, ACTE I, scène 1

ACTE I
Licinius, un jeune général romain, aime Julia, une jeune fille de haute naissance. Afin de mériter sa main, Licinius est parti combattre les Gaulois. Il revient à Rome victorieux, mais apprend qu’en son absence, le père de Julia a voué sa fille au culte de Vesta, ce qui lui interdit dorénavant d’aimer quelque homme que ce soit. Licinius se désespère, mais son ami Cinna jure de tout faire pour l’aider malgré le danger que représente son amour pour une prêtresse de Vesta.
On prépare les cérémonies pour célébrer la victoire de Licinius. Julia souhaiterait rester à l’écart des festivités afin de ne pas revoir l’homme qu’elle n’a cessé d’aimer, mais la Grande Vestale lui dit qu’elle devra remettre elle-même la couronne du vainqueur à Licinius. Alors que Julia remet à Licinius la couronne de lauriers, le général murmure à sa bien-aimée qu’il lui rendra visite cette même nuit dans le temple dont elle a la garde.

ACTE II
Dans le temple de Vesta, Julia veille sur le feu sacré tout en déplorant son sort et en invoquant la pitié des dieux. Licinius la rejoint et lui demande de s’enfuir avec lui. Julia refuse, avant de constater que, pendant leur entretien, le feu sacré s’est éteint… Les Romains, s’étant aperçu que le temple avait été profané, s’approchent furieux. Cinna fait irruption et somme Licinius de se sauver. Les deux jeunes gens s’enfuient mais jurent de revenir pour sauver Julia.
Julia avoue qu’elle est coupable d’avoir laissé le feu s’éteindre, mais refuse de donner le nom de l’homme qui l’a rejointe dans le temple. Le Souverain Pontife ordonne qu’on la dépouille de sa robe de vestale.

Esquisse de décor de l'acte III, tableau 1 : le champ d'exécration / Pierre-Luc Charles Cicéri (1821) - © Gallica / BnF

ACTE III
Cinna a réussi à rassembler quelques hommes prêts à combattre avec lui et Licinius pour libérer Julia. Mais avant d’en venir à cette extrémité, il demande à Licinius d’essayer d’obtenir la grâce de Julia. Le général avoue alors au Souverain Pontife qu’il est l’homme ayant profané le temple et demande à être tenu pour seul responsable des événements. Mais rien n’y fait : Julia, condamnée à être emmurée vivante, est conduite au tombeau. Seule une intervention divine pourrait la sauver : il faudrait pour cela que sa robe de vestale, déposée sur l’autel, s’embrase…
Les hommes de Licinius et Cinna se préparent pour la bataille. Les soldats du Souverain Pontife sont également prêts à combattre, lorsqu’un terrible orage éclate : la foudre frappe la robe de Julia, qui s’enflamme instantanément. Licinius et Cinna ouvrent le caveau et ramènent Julia évanouie à la lumière du jour. La jeune fille est pardonnée et le Souverain Pontife la libère de ses vœux : plus rien ne s’oppose dès lors à ce qu’elle épouse l’homme qu’elle aime.

La partition

L’importance de La Vestale dans l’histoire de l’Opéra est extrême : jalon essentiel sur la route qui conduit du classicisme au romantisme, elle mêle à la dignité et au hiératisme gluckiens (noblesse de la déclamation, puissance dramatique des récitatifs, expressivité de l’orchestration) un lyrisme italien qui annonce parfois par certains côtés le bel canto romantique : le grand air de Julia au second acte, qui fait se succéder une supplication ample et noble (« Toi que j’implore avec effroi, / Redoutabe déesse ») et une partie très agitée (« Impitoyables dieux ! ») où le chant de l’héroïne exprime un désespoir intense, souligné par l’accompagnement particulièrement violent et heurté de l’orchestre, annonce plus ou moins certaines scènes de folies romantiques. Quant au cantabile de la prière « Ô des infortunés », il n’a, en termes de noblesse et de pathétisme, rien à envier aux plus belles cantilènes belliniennes. De fait, la similitude esthétique et thématique existant entre La Vestale et Norma a été soulignée depuis longtemps par les critiques et commentateurs… Quant à l’orchestre, il fait entendre une densité et un dramatisme qui suscitèrent une immense admiration de la part de Berlioz.

"Toi que j'implore" par Maria Casula (1877)
"Ô des infortunés" par Renata Scotto (1989)

JULIA (seule)
Toi que j’implore avec effroi,
Redoutable déesse,
Que ta malheureuse prêtresse
Obtienne grâce devant toi !
Tu vois mes mortelles alarmes,
Mon trouble, mes combats, mes remords, ma douleur,
Laisse-toi fléchir par mes larmes,
Étouffe ma funeste ardeur.
(Elle se lève, monte sur l’autel, et attise le feu)
Sur cet autel sacré, que ma prière assiège,
Je porte en frémissant une main sacrilège.
Mon aspect odieux
Fait pâlir la flamme immortelle :
Vesta ne reçoit point mes vœux,
Et je sens que son bras me repousse loin d’elle.
(Elle parcourt la scène d’un pas égaré.)
Eh bien ! Fils de Vénus, à tes vœux, je me rends!
Où vais-je ? ô ciel! et quel délire
S’est emparé de tous mes sens ! …
Un pouvoir invincible à ma perte conspire;
Il m’entraîne, il me presse. Arrête, il en est temps;
La mort est sous tes pas, la foudre sur la tête …
(avec délire)
Licinius est là ! Quoi, je puis le revoir,
L’entendre, lui parler; et la crainte m’arrête ?
Non, je n’hésite plus ; l’amour, le désespoir,
Usurpent dans mon cœur une entière puissance.
N° 9  Ai r
Impitoyables dieux !
Suspendez la vengeance,
Que le bienfait de sa présence
Enchante un seul moment ces lieux !
Et Julia, soumise à votre loi sévère,
Abandonne à votre colère
Le reste infortuné de ses jours odieux.
L’arrêt est prononcé, ma carrière est remplie : Viens,
mortel adoré, je te donne ma vie !

JULIA
Ô des infortunés, déesse tutélaire!
Latone, écoute ma prière ;
Mon dernier voeu doit te fléchir :
Daigne, avant que j’y tombe,
Écarter de ma tombe
Le mortel adoré pour qui je vais mourir ! . . .

Voici l’une des plus belles versions de la prière « Ô des infortunés » jamais gravées : il s’agit d’un enregistrement de Rosa Ponselle datant de 1926, dont, de toute évidence, une certaine Maria Callas avait connaissance… L’air est ici chanté dans sa version italienne. 

Notre sélection pour voir et écouter l’œuvre

CD

Kreder / Mazella, Mollien, Grancher, Vessieres. Extraits. (Orchestre Radio-Lyrique et choeurs de la RTF, live, 1964) – 1 CD Gala

Norrington / Le Bris, Denize, Dumé, Méloni (Orchestre Radio-Lyrique et chœurs de la RTF, 1976) – 2 CD Ponto)

Kuhn / Plowright, Araiza (Müncher Rundfunkorchester, Chor des Bayerischen Rundfunks, 1992) – 2 CD Orfeo

Muti / Huffstodt, Michaels-Moore, Raftery, Graves, Kavrakos (Chœur et orchestre de la Scala, 1993) – 3 CD Sony

Streaming

Rhorer - Lacascade / Jaho, Uria Monzon, Richards (Théâtre des Champs-Elysées, 2013)

LE CONCERT DU THÉÂTRE DES CHAMPS-ÉLYSÉES

LE CHEF

© Eric Larrayadieu

CHRISTOPHE ROUSSET, direction
Christophe Rousset, claveciniste de formation, remporte à 22 ans le prestigieux 1er Prix du 7e concours de clavecin de Bruges. La création de son propre ensemble, Les Talens Lyriques, en 1991, lui permet d’appréhender la richesse et la diversité des répertoires baroque, classique et préromantique ; Christophe Rousset et Les Talens lyriques se sont produits dans toute l’Europe, ainsi qu’au Mexique, en Nouvelle-Zélande, au Canada, aux USA… Ses enregistrements des œuvres pour clavecin de Louis et François Couperin, Rameau, D’Anglebert, Royer, Duphly, Forqueray, Balbastre, Scarlatti et Bach sont considérés comme des références.

En tant que chef lyrique, il a été invité, entre autres théâtres, par l’Opéra National de Paris, l’Opéra-Comique, l’Opéra National des Pays-Bas, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Théâtre des Champs-Élysées, l’Opéra de Lausanne, le Teatro Real de Madrid, le Theater an der Wien, le Staatsoper de Vienne, l’Opéra Royal de Versailles ou encore La Monnaie de Bruxelles.

LES CHANTEURS

@Janis Deinats

MARINA REBEKA, soprano
Née à Riga, Marina Rebeka étudie en Italie et participe aux académies d’été de Salzbourg et de Pesaro. Elle remporte plusieurs concours internationaux et fait en 2009 ses débuts au Festival de Salzbourg dans Moïse et Pharaon de Rossini, sous la direction de Riccardo Muti. Sa carrière prend alors un essor international et elle est invitée sur les plus grandes scènes lyriques dans un vaste répertoire qui s’étend de la période baroque à Stravinsky, en passant par le bel canto, Verdi et Tchaïkovski. Entre autres enregistrements de Marina Rebeka, signalons la Petite Messe solennelle de Rossini avec l’Orchestre de l’Académie Sainte Cécile et Antonio Pappano (EMI), deux albums solo (airs de Mozart et de Rossini), un  récital d’opéras français (Elle) et une intégrale du Pirate, ces derniers albums (tous deux couronnés par l‘Appassionato de Première Loge) étant parus chez Prima Classic.

« Sur cet autel sacré … Impitoyables dieux » (La Vestale)

© D.R.

STANISLAS DE BARBEYRAC, ténor
Après des études au conservatoire de musique de Bordeaux, Stanislas de Barbeyrac a été lauréat du concours musical international Reine-Elisabeth-de-Belgique en 2011, et élu « Révélation artiste lyrique » aux Victoires de la musique. Il fait ses débuts remarqués au Festival d’Aix-en-Provence dans le rôle de Tamino. Désormais l’un des ténors les plus prisés de sa génération, il est depuis quelques années invité par les lieux les plus prestigieux, tels l’Opéra national de Paris, le Covent Garden de Londres, le Teatro municipal de Sao Paulo, l’Opéra national du Rhin à Strasbourg et les Chorégies d’Orange.

Stanislas de Barbeyrac, Mozart : Die Zauberflöte (« Dies Bildnis ist bezaubernd schön », extrait)
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Stéphane Lelièvre

Stéphane Lelièvre est maître de conférences en littérature comparée, responsable de l’équipe « Littérature et Musique » du Centre de Recherche en Littérature Comparée de la Faculté des Lettres de Sorbonne-Université. Il a publié plusieurs ouvrages et articles dans des revues comparatistes ou musicologiques et collabore fréquemment avec divers opéras pour la rédaction de programmes de salle (Opéra national de Paris, Opéra-Comique, Opéra national du Rhin,...) Il est co-fondateur et rédacteur en chef de Première Loge.

4 commentaires

david raymond harrison 22 mai 2022 - 22 h 30 min

will there be a recording AND will it be a complete version and of the critical edition?

Répondre
Stéphane Lelièvre 23 mai 2022 - 0 h 24 min

Yes, there will be a CD, and I think it will be a complete edition: the Palazzetto Bru Zane is always very rigorous on the musicological level!

Répondre
Lady Izolde 23 mai 2022 - 0 h 36 min

It’s pity that TCE engaged such mediocre singers. All recordings of La Vestale suffer from the luck of really good, stylish singing. It was the only chance to present this rarely performed Spontini’s masterpiece in all it’s glory. Gosh, at last tenor could be better.

Répondre
Stéphane Lelièvre 24 mai 2022 - 10 h 22 min

L’avis de Lady Izolde n’engage évidemment… que son auteur !

Répondre

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